Qu'est ce que l'Agora ?

Vous ici trouverez les réponses aux questions des internautes, rédigées par les médiums du CSLAK.

 

Bonjour,
j'ai lu le livre Mémoires d'un suicidé, j'ai trouvé que c'est un livre difficile à appréhender et à accepter, je voudrais savoir ce qu’il se passe avec le périsprit d’un suicidé ?

Bonjour André,
Comme il s’agit d’un corps subtil qui interagit sur nos propres actes et nos propres pensées, il est affecté de façon traumatisante. Si quelqu’un tire sur moi et que je meurs, je pourrais ressentir un certain choc au niveau de mon périsprit, mais sans aucune conséquence sérieuse pour lui. Mais, si je suis l’auteur du tir visant à m’enlever la vie, mon périsprit sera affecté. Je reviendrai dans le monde des Esprits avec une blessure dans la région correspondante à celle qui a été atteinte dans mon corps physique. Il est très fréquent pour un médium clairvoyant, de percevoir des Esprits qui se sont suicidés car ils portent de graves lésions dans leur corps spirituel. Celles-ci sont la conséquence du choix qu’ils ont fait pour provoquer leur décès.
En se réincarnant, l’Esprit vient dans un corps physique avec un périsprit meurtri et selon Chico Xavier : « Si la balle a traversé le centre de la parole, naturellement nous reprendrons le corps physique dans les conditions de muets. Si elle a traversé le centre de la vision, nous allons renaitre avec un procédé de cécité. Si nous nous précipitons des hauteurs et annihilons l’équilibre de nos structures spirituelles, nous allons revenir avec des blessures déterminées, qui affecteront notre équilibre. Lorsque nous nous empoisonnons, lorsque nous empoisonnons nos viscères, nous sommes candidats, lorsque nous revenons sur Terre, au cancer dans les premiers jours de l’enfance, au problème des fluides comburants qui créent le déséquilibre dans le champ moléculaire. De très nombreuses fois, nous trouvons chez un enfant récemment né, un procédé cancéreux que nous ne savons pas justifier, si ce n’est par la réincarnation, parce que l’esprit apporte avec lui cette angoisse, ce déséquilibre qui s’installe en lui. Par pendaisons, nous apportons des problèmes déterminés da la colonne vertébrale et nous tombons de suite dans des procédés de paraplégie. Nous sommes des enfants liés, cloués au lit durant un temps déterminé, en lutte d’auto correction, d’auto punition, de restructuration des pièces de notre corps spirituel. »
Fraternellement,
Agnès