50 – Citoyen de Nosso lar

France

Un esprit, André Luiz, médecin lors de sa dernière existence terrestre, dicte par psychographie une série de 13 ouvrages où il révèle ce qu’il découvre dans l’au-delà.
Nosso lar ou Notre demeure est le premier livre et il paraît en 1941.
André Luiz meurt d’une occlusion intestinale laissant seule sa femme et ses deux enfants sur la terre brésilienne. Après une errance de huit ans dans le monde du Seuil, il arrive dans une des « demeures de Notre Père » ; cette colonie spirituelle s’appelle : « Nosso Lar ». Il est accueilli dans un hôpital spirituel où des soins sur son périsprit sont pratiqués afin de retrouver les forces nécessaires pour lutter contre toutes ses pensées négatives et ses angoisses.
Il découvre alors un nouveau monde. Il cheminera notamment avec Lisias, un compagnon spirituel et comprendra petit à petit à travers son travail personnel, les erreurs qu’il a faites dans sa vie d’incarné. Il pourra ainsi retourner en tant qu’esprit auprès des siens pour les aider dans leurs épreuves.

Résumé de la planche

Pour sa 2ème nuit sur Terre, André, très fatigué, fait le point sur ce qu'il a appris et compris depuis son arrivée sur Nosso Lar. Grâce à cela, il arrive à voir Zelia et son nouveau mari Ernesto comme s'ils étaient ses frères. Il essaye alors de travailler à l'amélioration du malade mais, n'y parvenant pas, il a l'idée de faire appel à Narcisa qui répond rapidement à sa prière. Elle commence par aller dans la nature où elle appelle des serviteurs du règne végétal afin de récupérer certaines plantes qui seront appliquées sur Ernesto pendant toute la nuit. Les jours suivants, André utilise la capacité de volition pour faire des allers-retours rapides entre la maison et la cité spirituelle. Puis, à la fin de la semaine, pour son retour à la cité après ce séjour réussi, il est accueilli par 200 compagnons chaleureux et déclaré « citoyen de Nosso Lar » par Clarencio.

Planche

Citoyen de Nosso Lar

Cliquez pour agrandir

Réflexion spirituelle

Pour aller plus loin, nous vous conseillons un passage dans Le problème de l’être et de la destinéde Léon Denis, chapitre XXII, le libre arbitre

« Assurons par nos efforts, nos enseignements et nos exemples, le triomphe de la volonté ainsi que du bien et, au lieu de former des êtres passifs courbés sous le joug de la matière, en proie à l'incertitude et à l'inertie, nous aurons façonné des âmes vraiment libres, affranchies des chaînes de la fatalité et planant sur le monde par la supériorité des qualités acquises. »