42 – L’intervention du gouverneur

France

Un esprit, André Luiz, médecin lors de sa dernière existence terrestre, dicte par psychographie une série de 13 ouvrages où il révèle ce qu’il découvre dans l’au-delà.
Nosso lar ou Notre demeure est le premier livre et il paraît en 1941.
André Luiz meurt d’une occlusion intestinale laissant seule sa femme et ses deux enfants sur la terre brésilienne. Après une errance de huit ans dans le monde du Seuil, il arrive dans une des « demeures de Notre Père » ; cette colonie spirituelle s’appelle : « Nosso Lar ». Il est accueilli dans un hôpital spirituel où des soins sur son périsprit sont pratiqués afin de retrouver les forces nécessaires pour lutter contre toutes ses pensées négatives et ses angoisses.
Il découvre alors un nouveau monde. Il cheminera notamment avec Lisias, un compagnon spirituel et comprendra petit à petit à travers son travail personnel, les erreurs qu’il a faites dans sa vie d’incarné. Il pourra ainsi retourner en tant qu’esprit auprès des siens pour les aider dans leurs épreuves.

Résumé de la planche

La situation étant très tendue, le Gouverneur promet de réaliser un culte évangélique dans le Ministère de la Régénération afin d'aider chacun à se mobiliser. L'une des principales urgences est de travailler sur la peur qui est l'un des pires ennemis de l'individu. Une grande fête s'organise alors, avec des choeurs d'enfants, puis le Gouverneur prend la parole pour réveiller l'esprit de service qui va être nécessaire pendant cette période de guerre. Nosso Lar a besoin de 30 000 serviteurs courageux, préparés au service défensif.

Planche

L'histoire de Monteiro

Cliquez pour agrandir

Réflexion spirituelle

Pour aller plus loin, nous vous conseillons un passage dans Le livre des Esprits d’Allan Kardec, chapitre II, Peines et jouissances futures :

« 1019. Le règne du bien pourra-t-il jamais avoir lieu sur la terre ? …Malheur à ceux qui ferment les yeux à la lumière, car ils se préparent de longs siècles de ténèbres et de déceptions ; malheur à ceux qui mettent toutes leurs joies dans les biens de ce monde, car ils endureront plus de privations qu'ils n'auront eu de jouissances ; malheur surtout aux égoïstes, car ils ne trouveront personne pour les aider à porter le fardeau de leurs misères. »