36 - Le rêve

France

Un esprit, André Luiz, médecin lors de sa dernière existence terrestre, dicte par psychographie une série de 13 ouvrages où il révèle ce qu’il découvre dans l’au-delà.
Nosso lar ou Notre demeure est le premier livre et il paraît en 1941.
André Luiz meurt d’une occlusion intestinale laissant seule sa femme et ses deux enfants sur la terre brésilienne. Après une errance de huit ans dans le monde du Seuil, il arrive dans une des « demeures de Notre Père » ; cette colonie spirituelle s’appelle : « Nosso Lar ». Il est accueilli dans un hôpital spirituel où des soins sur son périsprit sont pratiqués afin de retrouver les forces nécessaires pour lutter contre toutes ses pensées négatives et ses angoisses.
Il découvre alors un nouveau monde. Il cheminera notamment avec Lisias, un compagnon spirituel et comprendra petit à petit à travers son travail personnel, les erreurs qu’il a faites dans sa vie d’incarné. Il pourra ainsi retourner en tant qu’esprit auprès des siens pour les aider dans leurs épreuves.

Résumé de la planche

Après avoir poursuivi les soins jusqu'à la tombée de la nuit, André est félicité par Tobias qui met à sa disposition un appartement de repos à côté des chambres de rectification. La « bonne fatigue » du travailleur ne tarde pas à se faire sentir et André se sent comme emporté dans une sorte de rêve conscient où il a la joie de retrouver enfin sa mère. Elle l'encourage dans son engagement et lui explique avec bonté que la véritable valeur des bonus-heure se trouve dans leur contenu spirituel qui n'appartient qu'à Dieu. Très ému, André s'endort dans les bras de sa mère.

Planche

Le rêve

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Réflexion spirituelle

Pour aller plus loin, nous vous conseillons un passage dans Après la mort de Léon Denis, chapitre XLIII, le devoir

« Le devoir n'est pas identique pour tous. Il varie suivant notre condition et notre savoir. Plus nous nous élevons, plus il acquiert à nos yeux de grandeur, de majesté, d'étendue. Mais toujours son culte est doux au sage, et la soumission à ses lois est fertile en joies intimes, que rien ne peut égaler. »