Miracles du ciel

Miracles from heaven, États-Unis, 01 janvier 2016

En 2011, au Texas, la famille Beam unie, très croyante, ils appartiennent à une église évangéliste, vit entourée de leurs amis et voisins. Une de leurs filles, la seconde, alors âgée de 4 ans, tombe malade. Cette maladie des intestins, incurable et invalidante, la fait terriblement souffrir au point qu'après 5 ans de traitement et de séjours répétés à l'hôpital, elle souhaite en finir et mourir… Au retour d'une énième hospitalisation, très triste et fatiguée, sur la pression de sa sœur, elle sort grimper avec elle dans un vieil arbre à une hauteur de 9 mètres. L'arbre est creux, elle fait une chute à l'intérieur et perd connaissance. Il faudra 3 heures aux pompiers pour l'évacuer. Examinée par les médecins, elle est indemne hormis une légère commotion cérébrale ! Elle racontera à ses parents son expérience de mort imminente, sa rencontre avec Jésus, sa guérison.

Thème spirite évoqué : EMI.

Critique

Film très touchant sur le combat d'une famille portée par une foi sans faille pendant 5 ans face à la maladie d'un enfant.

Note du centre : 3 / 6

Réflexion spirituelle

Liens avec le livre La Genèse, les miracles et les prédictions d’Allan Kardec, chapitre 15, les miracles : « Le fait du retour de la vie corporelle d'un individu, réellement mort, serait contraire aux lois de la nature, et, par conséquent, plus miraculeux. Or, il n'est pas nécessaire de recourir à cet ordre de faits pour expliquer les résurrections opérées par le Christ.
Si, parmi nous, les apparences trompent parfois les gens de l'art, les accidents de cette nature devaient être bien autrement fréquents dans un pays où l'on ne prenait aucune précaution, et où l'ensevelissement était immédiat. Il y a donc toute probabilité que, dans les deux exemples ci-dessus, il n'y avait que syncope ou léthargie. Jésus lui-même le dit positivement de la faille de Jaïre : Cette fille, dit-il, n'est pas morte, elle n'est qu'endormie.
D'après la puissance fluidique que possédait Jésus, il n'y a rien d'étonnant que ce fluide vivifiant, dirigé par une forte volonté, ait ranimé les sens engourdis ; qu'il ait même pu rappeler dans le corps l'Esprit prêt à le quitter, tant que le lien périsprital n'était pas définitivement rompu. Pour les hommes de ce temps, qui croyaient l'individu mort dès qu'il ne respirait plus, il y avait résurrection, et ils ont pu l'affirmer de très bonne foi, mais il y avait, en réalité, guérison et non résurrection dans l'acception du mot. » »

Bande-annonce